WAS 108 (4-20)
IND 89 (6-20)
CHA 119 (8-18)
CLE 111 (15-12) PR
PHI 117 (14-11)
ATL 120 (15-12)
MIL 82 (11-16)
BKN 127 (7-18)
SAC 103 (6-20)
MIN 117 (17-9)
NOP 114 (5-22)
CHI 104 (10-15)
LAL 116 (18-7)
PHX 114 (14-12)
GSW 131 (13-14)
POR 136 (10-16)

Après avoir étudié les numéros de maillots de deux joueurs de Brooklyn hier, à savoir Paul Pierce et Deron Williams, place à la superstar des Knicks Carmelo Anthony aujourd'hui.
Après avoir porté le numéro 22 en High School à Baltimore puis à Oak Hill et le numéro 15 à Syracuse chez les Orangemen (le numéro 22 étant déjà retiré pour Dave Bing dans cette université, à son arrivée, il avait le choix entre le 15, le 14 et le 32) et aux Nuggets de Denver, Melo a opté, à son arrivée à New York, pour le numéro 7.
La première et principale explication à cela est que ces deux numéros sont retirés à New York. En effet, le numéro 15 l'a été en l'honneur d'Earl Monroe et de Dick McGuire. Le premier cité a joué neuf saisons pour les Knicks (de 1971 à 1980) et a remporté le titre avec cette équipe en 1973. Le second a évolué pour les Knicks de 1949 à 1957 et a entraîné la franchise de Big Apple durant trois saisons (de 1965 à 1968). En ce qui concerne le numéro 22, on peut l'apercevoir dans les hauteurs du Madison Square Garden en référence à Dave DeBusschere, cet homme décédé en 2012 a porté le maillot orange et bleu pendant cinq ans et demi (entre 1969 et 1974) durant lesquels il a remporté deux titres (1970 et 1973).
La deuxième raison est, elle, mathématique et consiste en une simple soustraction entre ces deux numéros: 22-15=7. Il suffisait de le dire.
Enfin, selon Ian Begley d'ESPN, la dernière raison est sentimentale puisque le fils de Carmelo Anthony, Kiyan, est né le 7 Mars 2007.
En dix ans de carrière NBA, le troisième choix de draft 2003 tourne à 25 points de moyenne à 46% de réussite dont 33% à trois points; 6,4 rebonds et 3,3 passes. Malgré ces statistiques et le fait que l'ailier new-yorkais est sûrement un des meilleurs joueurs de la ligue (et sûrement le meilleur en un contre un), il doit encore prouver qu'il est capable d'emmener sa franchise vers les finales NBA.