Le Business a aussi retenu Carmelo Anthony à Big Apple

Le Business a aussi retenu Carmelo Anthony à Big Apple

Carmelo Anthony - New York Knicks - Los Angeles Lakers - Chicago Bulls - houston rockets - dallas mavericks
Crédit photo : Getty Images

Une des phrases fétiches de la NBA c'est que cette ligue est avant tout un business. Si Carmelo Anthony est resté à Big Apple, ce n'est uniquement pour le challenge sportif.

Carmelo Anthony était l'une des attractions de la Free Agency. Les Rockets, les Mavericks, les Lakers ou encore les Bulls étaient sur les traces du franchise player des Knicks pour les saisons à venir, mais l'ancien Orangeman a préféré rester à New York.

 

Certes, Melo a dit que son équipe n'était pas la mieux armée pour aller chercher le titre la saison prochaine, mais l'idée de tout reconstruire ailleurs ne lui plaisait pas, alors que les Knicks de Phil Jackson, le système en triangle qui va être dirigé par Derek Fisher, et la perspective d'avenir avec des jeunes comme Tim Hardaway Jr étaient bien plus rassurants. Mais il y a le côté business comme le dit Melo (Newsday)

"Je ne pouvais pas partir de cette perspective d'avenir. Il y a tellement d'opportunités que j'ai commencé à construire à New York, les possibilités de business (notamment Melo 7 Tech Partners qui travaille sur la technologie), différentes situations, des choses que j'ai commencé à construire ici."

 

"Je me suis dit, si je devais partir, je dois tout recommencer une nouvelle fois, rencontrer de nouvelles personnes, construire une nouvelle fois, et il m'a fallu beaucoup pour construire, pour tout mettre sur pied et d'être là où j'en suis."

 

"Avec Melo 7 Tech Partners, je veux me démarquer en étant LE joueur digital. J'ai vraiment envie d'être un pionnier dans ce domaine du digital et quand cela arrivera, je veux en être la représentation physique."

 

"Après le business ne me détournera pas de mes objectifs avec les Knicks.  Ce sont mes partenaires qui assureront le fonctionnement. Je fais ce que j'ai à faire. J'ai l'intention de terminer ma carrière ici. Il n'était pas question pour moi de m'engager sur deux ans seulement et de tout recommencer après (référence à la proposition de contrat des Bulls). Je ne veux plus aller à la Free Agency."

Business is business et Melo avait aussi les meilleures chances de réussir dans ce domaine en restant sur l'un des plus gros marchés de la NBA avec une diffusion beaucoup plus importante qu'à Chicago, Houston ou encore Dallas.