Joey Crawford, un arbitrage déplorable

Joey Crawford, un arbitrage déplorable

L'impartialité de Joey Crawford n'est plus à démontrer puisqu'elle n'existe pas. Le plus controversé des referees a encore fait une belle bourde.

Match sans intérêt entre les Clippers et les Kings hier soir. Les locaux veulent simplement mettre la pression sur le Thunder pour aller chercher la deuxième place du classement, et Sacramento n'a rien à perdre ni à gagner.

 

Nous sommes dans le dernier quart-temps et l'action se passe entre Ben McLemore et J.J Redick. Le Clipper est à la défense, mais McLemore est un brin plus rapide que son adversaire. Redick ne se laisse pas distancer et accroche le bras du King, sous le regard de l'arbitre Joey Crawford qui ne bronche pas, même si McLemore manque de tomber.

 

Le joueur de Sacramento en a marre et frappe au visage du Clipper (même si le coup n'est pas violent). On voit bien que le joueur essaye au départ de se dégager de la sangsue d'un Redick qui est complétement fautif sur l'écran de DeMarcus Cousins et qui accroche volontairement le jeune King. Malheureusement, le King ne contrôle pas du tout ses nerfs et son bras et touche le visage d'un Redick, bizarrement surpris. C'est la deuxième faute technique de McLemore qui part rejoindre les vestiaires.

 

Crawford est à l'image du corps arbitrale de la NBA : subjectif. Trop souvent, les hommes en gris favorisent les grandes stars, les grandes équipes et même si des joueurs, comme Chris Bosh, osent dire qu'il existe une règle anti-star, les referees, et Crawford en particulier, se montrent plus que complaisant avec les grosses écuries.

 

Ce n'est pas étonnant que les Sixers ont obligé Michael Carter-Williams à apprendre les noms et prénoms de tous les arbitres de la ligue. Plus que jamais cette saison, l'arbitrage a été mauvais et la NBA s'est excusée à de trop nombreuses reprises sur des erreurs d'arbitrage qui ont coûté un match, une suspension etc...