Kyrie Irving écrase les Knicks, Golden State et Portland confirment leurs gros début de saison

3 rencontres se jouaient cette nuit en NBA. Les Cavs retrouvaient New York alors que l'on pouvait voir 3 français sur les deux autres rencontres.

90 - 87

37. Après avoir perdu leur premier match, face à ces mêmes Knicks, les Cavaliers de Kyrie Irving (37 points) avaient à coeur de prendre leur revanche au Madison Square Garden

Les deux équipes débutent plutôt bien le match, LeBron James et Carmelo Anthony (9pts, 10rbs, 5pdb) jouent les yeux dans les yeux et les deux équipes restent proche au score. Alors que Tim Hardaway Jr. (20 points) permet au siens de prendre un léger avantage avant que le festival Kyrie Irving ne se mettent en route.

Malgré de belles sorties des intérieurs new-yorkais Quincy Acy (15 points) et Amare Stoudemire (18pts, 9rbs), les Knicks peinent à tuer le match, la faute à un Carmelo beaucoup trop maladroit (4/19). Le meneur des Cavs est lui toujours innarrêtable et fait revenir les siens à chaque fois que New York commence à prendre le large.

En fin de match, c'est LeBron (19pts, 12pds) qui prendra les choses en main et qui permettra à Cleveland de repasser devant au score. New York ne marque que 2 paniers en 6 minutes seulement, trop insuffisant pour espérer l'emporter. Irving rentrera le dernier shoot avant que Melo ne manque le tir de l'égalisation, raté, à l'image de sa performance du soir.

Avec cette victoire à New York, les Cavaliers continuent de remonter la pente (10-7) alors que les Knicks continuent d'enchaîner les défaites (4-16), le tout avec un Melo peu méconnaissable.




80 - 88

15-4. Bien menés par son Big Three, les Trailblazers ont dominé le match de bout en bout, menant au score durant toute la rencontre.

Portland déroule son basket d'entrée de jeu et contrôle tranquillement le cours du match. Les Pacers n'abdiquent pas, courageux, les joueurs de Franck Vogel restent toujours proche au score. Rodney Stuckey (16pts, 6rbs, 5pds) montrent de belles choses côté Indiana mais ne semblent pas capable d'arrêter Damian Lillard (23 points) qui marque et provoque de nombreuses fautes.

Toujours aussi complet, Nicolas Batum (13pts, 5rbs, 5pds, 3ints et 2cts) fait beaucoup de mal à ses adversaires alors que LaMarcus Aldridge (17pts, 13rbs) domine les débats dans la raquette face à David West (13 points). La défense et le zeste de folie en attaque de Paul George manque toujours autant à Indiana, même si Solomon Hill continue son beau début de saison (15 points).

Après avoir géré intelligemment la fin de match, Portland s'impose pour une quinzième victoire (15-4) et tenteront de rééditer leur magnifiqiue début de saison 2013-2014 (18-4) avant de retrouver les Pacers (7-12) le 13 Décembre à Indiannapolis.


85 - 112

45,5%. Difficile d'arrêter les Warriors et les Splash Brothers quand ces derniers sont aussi adroits à longue distance.

Les Pelicans commencent très bien le match et sur plusieurs contre-attaque, prennent un avantage au score. Un avantage qui sera de courte durée, durant le second quart-temps Mareese Speights (12 points), puis Klay Thompson (23 points, 5/8 à 3pts), enchaînent paniers sur paniers et creusent l'écart. En face, Anthony Davis paraît bien seul tant ses coéquipiers, principalement les extérieurs, sont maladroits (20% à 3pts). Golden State mène de 13 points à la mi-temps (53-40).

Jrue Holiday (12pts, 8pds) et les siens se réveillent enfin à la reprise mais il est  déjà trop tard pour eux. Bien emmenés par le joueur du mois, Stephen Curry (19pts, 11pds, 4ints), les Warriors assurent et gèrent leurs avance.

Malgré la domination de l'extra-terrèstre Anthony Davis (30pts, 15rbs, 3cts), la Nouvelle Orleans ne peut qu'abdiquer face au jeu de Golden State, clairement un cran au dessus et mieux armés à l'extérieurs, en atteste les performances de Harrison Barnes (17pts, 10rbs) et Draymond Green (14pts, 14rbs).

Avec cette nouvelle victoire, Golden State assoit d'avantage sa domination à la tête de la conférence Ouest (16-2). Côté Pelicans, une défaite de plus (8-9) qui les éloignent du Top 8 synonyme de Playoffs (et Davis du titre de MVP).